Je suis toujours surpris que le soi-disant «peintre de la lumière» ne soit pas aquarelliste. Les effets de lumière lumineuse sont ce qu'est le médium, et l'artiste aquarelliste Jean Grastorf a créé un corps unique de peintures à l'aquarelle qui met en valeur ce potentiel, et elle le fait d'une manière que je n'ai jamais vue auparavant.
Portifino de Jean Grastorf (aquarelle, 20 x 30, 2003)
a été créé en utilisant la technique de la signature de l'artiste pour.
Inspirée par une méthode qu'elle a apprise dans un cours de coulée d'encre, Grastorf a posé son pinceau pour verser et égoutter des couches de couleur successives sur une page humide et soigneusement masquée. Il faut beaucoup de travail pour travailler de cette façon: masquer, verser, sécher, verser, retirer le masque, teinter. Grastorf dit en plaisantant que son processus est comme tuer une fourmi avec un marteau. Mais le gain! L'artiste est récompensé par de beaux émaux et lavages qui ne montrent aucun soupçon de coup de pinceau, et des couleurs qui se rejoignent et se mélangent de manière transparente et imprévisible.
Grastorf place la barre assez haute, s'efforçant de perfectionner sa propre technique de peinture à l'aquarelle tout en créant des œuvres qui n'évoquent rien de moins que les effets visuels d'un soleil chaud et scintillant. «En utilisant des lavis transparents, je crée l'illusion de la lumière… En simplifiant les formes, la force et la beauté de la lumière deviennent le message dans la peinture.»
Grastorf met sa peinture à l'aquarelle sous un angle
et verse les pigments à la main, en couches.